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hommage à  mon père

3 avril 2010

cancer du poumon partie2 (les causes)

Causes

L'usage du tabac est le principal facteur de risque de cancer du poumon, et il est la cause de plus de 80 % des cancers du poumon. Plus une personne a fumé pendant longtemps et plus elle a fumé, plus grand est son risque de cancer du poumon. Si une personne cesse de fumer avant qu'un cancer se développe, les lésions de tissu pulmonaire causées par le tabac commenceront à guérir. Le risque de cancer chez un ex-fumeur ne sera pas aussi faible que chez une personne qui n'a jamais fumé, mais il diminuera quand même avec le temps. L'usage du cigare et de la pipe entraîne presque le même degré de risque de cancer du poumon que l'usage de la cigarette.

Même la fumée secondaire, c'est-à-dire la fumée qu'une personne inhale en présence d'un fumeur, peut causer le cancer du poumon. Les non-fumeurs dont le conjoint ou la conjointe fume courent un risque plus élevé de 30 % d'être atteints d'un cancer du poumon que le conjoint ou la conjointe d'une personne qui ne fume pas. Récemment, la Commission de la sécurité professionnelle et de l'assurance contre les accidents du travail (CSPAAT) a accepté la demande d'indemnisation d'une non-fumeuse qui travaillait dans un milieu enfumé et chez qui on avait diagnostiqué un cancer du poumon.

Le fait de vivre dans un environnement dont l'air est fortement pollué, ou le fait d'avoir un emploi qui oblige à manipuler des minéraux radioactifs ou de l'amiante peut aussi augmenter le risque de cancer du poumon.

La recherche a permis de mieux comprendre comment ces facteurs de risque entraînent certains changements de l'ADN dans les cellules du poumon. Ces changements induisent une croissance anormale des cellules et la formation de tumeurs cancéreuses. L'ADN est le matériel génétique qui contient les instructions pour toutes les fonctions des cellules, ou presque. Certains gènes (c'est-à-dire des parties de l'ADN) règlent la croissance et la division des cellules. Les facteurs de risque que nous avons décrits auparavant peuvent déclencher des changements (mutations) de ces gènes, ce qui entraîne ensuite l'apparition d'un cancer. Par ailleurs, le risque d'être atteint de certaines formes de cancer (cancers du sein, de l'ovaire, cancer colorectal, et plusieurs autres cancers) peut être héréditaire. Toutefois, les scientifiques sont d'avis que dans de très nombreux cancers du poumon, les mutations génétiques héréditaires ne sont pas la cause du cancer.

(voir www.santecheznous.com)

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3 avril 2010

cancer du poumon partie2 (les causes)

Causes

L'usage du tabac est le principal facteur de risque de cancer du poumon, et il est la cause de plus de 80 % des cancers du poumon. Plus une personne a fumé pendant longtemps et plus elle a fumé, plus grand est son risque de cancer du poumon. Si une personne cesse de fumer avant qu'un cancer se développe, les lésions de tissu pulmonaire causées par le tabac commenceront à guérir. Le risque de cancer chez un ex-fumeur ne sera pas aussi faible que chez une personne qui n'a jamais fumé, mais il diminuera quand même avec le temps. L'usage du cigare et de la pipe entraîne presque le même degré de risque de cancer du poumon que l'usage de la cigarette.

Même la fumée secondaire, c'est-à-dire la fumée qu'une personne inhale en présence d'un fumeur, peut causer le cancer du poumon. Les non-fumeurs dont le conjoint ou la conjointe fume courent un risque plus élevé de 30 % d'être atteints d'un cancer du poumon que le conjoint ou la conjointe d'une personne qui ne fume pas. Récemment, la Commission de la sécurité professionnelle et de l'assurance contre les accidents du travail (CSPAAT) a accepté la demande d'indemnisation d'une non-fumeuse qui travaillait dans un milieu enfumé et chez qui on avait diagnostiqué un cancer du poumon.

Le fait de vivre dans un environnement dont l'air est fortement pollué, ou le fait d'avoir un emploi qui oblige à manipuler des minéraux radioactifs ou de l'amiante peut aussi augmenter le risque de cancer du poumon.

La recherche a permis de mieux comprendre comment ces facteurs de risque entraînent certains changements de l'ADN dans les cellules du poumon. Ces changements induisent une croissance anormale des cellules et la formation de tumeurs cancéreuses. L'ADN est le matériel génétique qui contient les instructions pour toutes les fonctions des cellules, ou presque. Certains gènes (c'est-à-dire des parties de l'ADN) règlent la croissance et la division des cellules. Les facteurs de risque que nous avons décrits auparavant peuvent déclencher des changements (mutations) de ces gènes, ce qui entraîne ensuite l'apparition d'un cancer. Par ailleurs, le risque d'être atteint de certaines formes de cancer (cancers du sein, de l'ovaire, cancer colorectal, et plusieurs autres cancers) peut être héréditaire. Toutefois, les scientifiques sont d'avis que dans de très nombreux cancers du poumon, les mutations génétiques héréditaires ne sont pas la cause du cancer.

(voir www.santecheznous.com)

3 avril 2010

les bénéfices d'ALIMTA

Les régimes à base d'ALIMTA continuent de soutenir les patients atteints de cette maladie dévastatrice

Les données tirées de deux études à grande échelle ouvertes montrent que des patients ont bénéficié de taux de survie à un an supérieurs à 50 % lorsqu'ils sont traités avec ALIMTA(R) (pemetrexed pour injection) ou avec des régimes à base d'ALIMTA dans le traitement du mésothéliome pleural malin (MPM) à la fois en première et en deuxième intention. Les résultats de l'étude démontrent des bénéfices importants en matière d'efficacité et d'innocuité pour l'ALIMTA d'Eli Lilly and Company, le seul agent connu démontrant un avantage de survie dans cette maladie souvent difficile à traiter et qui est principalement liée à une exposition à l'amiante. Les données ont été présentées aujourd'hui à l'occasion de la douzième conférence mondiale sur le cancer du poumon.

Une des plus importantes études entreprises sur le traitement du mésothéliome, cette étude à trois bras, ouverte, multicentrique et de première intention (Résumé WCLC N C5-01) a consisté à traiter des patients en monothérapie avec ALIMTA, dans un bras, et en bithérapie avec soit cisplatine ou carboplatine, dans les deux autres bras. Les trois bras ont montré des taux de survie à un an cliniquement similaires (58,6 % pour ALIMTA en monothérapie ; 63,1 % pour ALIMTA+cisplatine, et 64,0 % pour ALIMTA+carboplatine). Les bras de bithérapie ALIMTA plus platine ont obtenu des taux de réponse plus élevés qu'ALIMTA en monothérapie (10,5 % pour ALIMTA ; 26,3 % pour ALIMTA+cisplatine et 21,7 % pour ALIMTA+carboplatine). Tous les 2023 patients traités en première intention présentaient un diagnostic histologique ou cytologique (les cellules du patient étaient examinées sous microscope) du MPM qui n'était pas compatible avec une chirurgie curative.

Une étude multicentrique ouverte (résumé WCLC N C5-03) a évalué les résultats de 988 patients qui ont été traités en deuxième intention contre le MPM avec ALIMTA en monothérapie, ALIMTA+cisplatine ou ALIMTA+carboplatine, après avoir précédemment suivi une chimiothérapie. Les trois bras ont montré des taux de survie à un an significatifs (54,7 % pour ALIMTA en monothérapie ; 67,9 % pour ALIMTA+cisplatine, et 65,5 % pour ALIMTA+carboplatine). Les patients traités avec ALIMTA en combinaison avec une chimiothérapie à base de platine ont obtenu des taux de réponse plus élevés (12,1 % pour ALIMTA ; 23,8 % pour ALIMTA+cisplatine et 16,8 % pour ALIMTA+carboplatine). Les toxicités de grade 3/4 les plus fréquentes pour les deux études étaient la leucémie, la neutropénie, la thrombocytopénie et l'anémie.

<< Les résultats de l'essai clinique initial d'ALIMTA dans le traitement du mésothéliome pleural malin ont été considérés comme une avancée médicale décisive lorsqu'ils ont été présentés il y a tout juste trois ans >>, a déclaré Richard Gaynor, M.D., vice-président, responsable de la recherche sur le cancer et de la plate-forme oncologique mondiale pour Lilly. << Il est encourageant que ces études ouvertes montrent, pour des patients réels, des résultats qui correspondent à ceux obtenus dans des environnements de recherche clinique contrôlés. Selon moi, ces informations cliniques auront une signification pour les oncologues dans l'exercice de leurs fonctions. >>

ALIMTA a été autorisé à la fois par l'Agence européenne pour l'évaluation des médicaments (EMEA) et la Food and Drug Administration (FDA) des Etats-Unis en 2004, en combinaison avec le cistapline dans le traitement du MPM. A ce jour, ALIMTA a été autorisé dans plus de 85 pays en combinaison avec le cistapline dans le traitement du MPM.

Mésothéliome

Le mésothéliome pleural malin est une forme rare du cancer de la plèvre. La maladie est souvent associée à une exposition à l'amiante et se caractérise par une longue période de latence - habituellement entre 20 et 40 ans. La plupart des patients ne sont pas diagnostiqués avant les stades avancés de la maladie et les traitements chirurgicaux ou les radiothérapies ne sont pas possibles.

INFORMATIONS POSOLOGIQUES ABRÉGÉES SUR ALIMTA

Utilisations

ALIMTA est indiqué en bithérapie avec le cistapline pour le traitement de patients souffrant d'un mésothéliome plural malin non résécable n'ayant pas reçu de chimiothérapie antérieure. ALIMTA est indiqué en monothérapie pour le traitement de deuxième intention des patients atteints d'un cancer bronchique non à petites cellules, localement avancé ou métastatique.

Dosage et administration

Le médicament doit être administré en intraveineuse sous la supervision d'un médecin qualifié

3 avril 2010

les bénéfices d'ALIMTA

Les régimes à base d'ALIMTA continuent de soutenir les patients atteints de cette maladie dévastatrice

Les données tirées de deux études à grande échelle ouvertes montrent que des patients ont bénéficié de taux de survie à un an supérieurs à 50 % lorsqu'ils sont traités avec ALIMTA(R) (pemetrexed pour injection) ou avec des régimes à base d'ALIMTA dans le traitement du mésothéliome pleural malin (MPM) à la fois en première et en deuxième intention. Les résultats de l'étude démontrent des bénéfices importants en matière d'efficacité et d'innocuité pour l'ALIMTA d'Eli Lilly and Company, le seul agent connu démontrant un avantage de survie dans cette maladie souvent difficile à traiter et qui est principalement liée à une exposition à l'amiante. Les données ont été présentées aujourd'hui à l'occasion de la douzième conférence mondiale sur le cancer du poumon.

Une des plus importantes études entreprises sur le traitement du mésothéliome, cette étude à trois bras, ouverte, multicentrique et de première intention (Résumé WCLC N C5-01) a consisté à traiter des patients en monothérapie avec ALIMTA, dans un bras, et en bithérapie avec soit cisplatine ou carboplatine, dans les deux autres bras. Les trois bras ont montré des taux de survie à un an cliniquement similaires (58,6 % pour ALIMTA en monothérapie ; 63,1 % pour ALIMTA+cisplatine, et 64,0 % pour ALIMTA+carboplatine). Les bras de bithérapie ALIMTA plus platine ont obtenu des taux de réponse plus élevés qu'ALIMTA en monothérapie (10,5 % pour ALIMTA ; 26,3 % pour ALIMTA+cisplatine et 21,7 % pour ALIMTA+carboplatine). Tous les 2023 patients traités en première intention présentaient un diagnostic histologique ou cytologique (les cellules du patient étaient examinées sous microscope) du MPM qui n'était pas compatible avec une chirurgie curative.

Une étude multicentrique ouverte (résumé WCLC N C5-03) a évalué les résultats de 988 patients qui ont été traités en deuxième intention contre le MPM avec ALIMTA en monothérapie, ALIMTA+cisplatine ou ALIMTA+carboplatine, après avoir précédemment suivi une chimiothérapie. Les trois bras ont montré des taux de survie à un an significatifs (54,7 % pour ALIMTA en monothérapie ; 67,9 % pour ALIMTA+cisplatine, et 65,5 % pour ALIMTA+carboplatine). Les patients traités avec ALIMTA en combinaison avec une chimiothérapie à base de platine ont obtenu des taux de réponse plus élevés (12,1 % pour ALIMTA ; 23,8 % pour ALIMTA+cisplatine et 16,8 % pour ALIMTA+carboplatine). Les toxicités de grade 3/4 les plus fréquentes pour les deux études étaient la leucémie, la neutropénie, la thrombocytopénie et l'anémie.

<< Les résultats de l'essai clinique initial d'ALIMTA dans le traitement du mésothéliome pleural malin ont été considérés comme une avancée médicale décisive lorsqu'ils ont été présentés il y a tout juste trois ans >>, a déclaré Richard Gaynor, M.D., vice-président, responsable de la recherche sur le cancer et de la plate-forme oncologique mondiale pour Lilly. << Il est encourageant que ces études ouvertes montrent, pour des patients réels, des résultats qui correspondent à ceux obtenus dans des environnements de recherche clinique contrôlés. Selon moi, ces informations cliniques auront une signification pour les oncologues dans l'exercice de leurs fonctions. >>

ALIMTA a été autorisé à la fois par l'Agence européenne pour l'évaluation des médicaments (EMEA) et la Food and Drug Administration (FDA) des Etats-Unis en 2004, en combinaison avec le cistapline dans le traitement du MPM. A ce jour, ALIMTA a été autorisé dans plus de 85 pays en combinaison avec le cistapline dans le traitement du MPM.

Mésothéliome

Le mésothéliome pleural malin est une forme rare du cancer de la plèvre. La maladie est souvent associée à une exposition à l'amiante et se caractérise par une longue période de latence - habituellement entre 20 et 40 ans. La plupart des patients ne sont pas diagnostiqués avant les stades avancés de la maladie et les traitements chirurgicaux ou les radiothérapies ne sont pas possibles.

INFORMATIONS POSOLOGIQUES ABRÉGÉES SUR ALIMTA

Utilisations

ALIMTA est indiqué en bithérapie avec le cistapline pour le traitement de patients souffrant d'un mésothéliome plural malin non résécable n'ayant pas reçu de chimiothérapie antérieure. ALIMTA est indiqué en monothérapie pour le traitement de deuxième intention des patients atteints d'un cancer bronchique non à petites cellules, localement avancé ou métastatique.

Dosage et administration

Le médicament doit être administré en intraveineuse sous la supervision d'un médecin qualifié

1 avril 2010

Victime de l' Hôpital central de l'armée HCA AIN NAADJA

la plupart des algériens croient malheureusement que l'hôpital  central de l'armée est le meilleure !!! si cette pensée est vraie donc c'est la catastrophe !!!

mon père je le considère un victime d'une façon indirecte de cet hôpital, il était hospitalisé au niveau de service oncologie médical depuis juin 2007 jusqu'à la dernière séance de chimiothérapie en décembre 2008 (il m'a dit lors de sa dernière hospitalisation ;je ne reviendrai jamais à AINNAADJA "HCA")

le 21.12.2008 pour avoir au moins un calmant (temgésic) il fallait attendre de 09h00 jusqu'à 14h40 (à vous de commenter)

d'après un TDM coparatif établi par les spécialistes (Radiologues de secteur privé de Djelfa et non de l'HCA) la prise de l'alimta (médicament de chimiothérapie) a donné des signes optimistes,je me souviens la première remarque de conclusion (une nette régression de la masse tumorale) oui une nette régression,mais....

depuis juillet 2008 il n'y a plus d'alimta (oui introuvable à ain naadja)

le retour pour l'ancien protocole:

le protocole adapté par les experts de l'HCA n'a donné pas les résultats escomptés ce qui a causé la dégradation de la santé de mon père, sans aucune explication n'a été fournée par les médecins

cet HCA que vous pensez est l'idéal je l'ai expérimenté même au niveau de salle d'urgence

le RDV de 20 décembre 2008 pour le motif qu'il n y'a des places!!!(motif habituel et répétitif) nous étions dans l'obligation de passer la nuit à l'hôtel de l'armée a proximité de l'hôpital (une partie de complexe de ain naadja) imaginez à 01h20 il n' y avait pas l'ambulance pour évacuer mon père à l'hopital jusqu'à intervention de l'ambulance du portail central (malgré c'est lui interdit de quitter sa place, faute de quoi il doit affronter le grand officier!!!) et quant enfin nous y sommes,il y avait qu'un seul médecin au niveau de l'urgence, malgré aussi les réclamations des patients!!!? après plus d'une heure c'était à moi d'orienter le médecin pour qu'il puisse aider mon père (rien qu'une bouteille d'oxygène, et un calmant!!) HCA sans connaissance tu vaux rien (oui c'était la parole de plupart des patients qui devaient subir cette nuit là)

alors que c'était le retour à l'hôtel, encore une fois, plus de 40 minutes d'attente de l'ambulance!!!

mon père a cause d'insuffisance cardiovasculaire il nous a quitté à jamais le 18.01.2009 vers midi (allah yarhmou et yarham les cancéreux qui ont été hospitalisé à HCA)

je préfère de ne pas parler de la gestion de service oncologie médical àl'HCA car vous allez préférer d'être haraga que.......

toutefois, pour la vérité je dois saluer ces médecins qui font tout mais il sont esseulés (DR AITKACI en premier lieu, elle mérite le paradis; DR BELLASSEL, Dr zoghlami, l'infirmier OMAR et une infirmière je ne rappelle pas son nom celle qui porte le Hidjab) je les saluer parmi une équipe de plus de 30 ou plus (nombre de personnel de ce service des vampires)

BRAHIMI TAREK le fils de martyr MOKHTAR   

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1 avril 2010

cancer du poumon partie1

Un plus grand nombre d'hommes et de femmes, généralement âgés de 65 ans à 75 ans, meurent du cancer du poumon que de tout autre cancer. La majorité des cancers du poumon se développe dans les bronches, c'est-à-dire dans les voies aériennes supérieures qui mènent aux poumons.

Il y a différents types de cancer du poumon. Le plus répandu s'appelle carcinome monocellulaire. Les autres types de cancer du poumon sont le carcinome à petites cellules ou carcinome à cellules en « grains d'avoine », l'adénocarcinome et le carcinome à grandes cellules. Chaque type évolue à un rythme différent et réagit différemment au traitement. La plupart des cancers du poumon sont liés au tabagisme, à l'exception de l'adénocarcinome. Il arrive fréquemment aussi qu'un cancer qui siège dans d'autres parties du corps se propage aux poumons.

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